Une étude anglaise fait pour la première fois de manière sérieuse le lien entre le surpoids et les difficultés économiques et sociales.
En analysant les données génétiques de plus de 119 000 citoyens de sa glorieuse majesté, agés de 37 à 73 ans, les chercheurs se sont rendus compte qu’un fort IMC (indice de masse corporelle) était lié avec plus de privations sociales et à un revenu plus bas qu’une personne avec un IMC plus faible.
Ils ont entre autre travaillé sur des paramètres comme la possession d’un emploi, le salaire annuel, la possession ou la location d’un logement et sa potentielle surpopulation.
La taille de l’individu joue aussi un rôle : une personne petite aura un niveau de catégorie professionnelle, d’études et de revenus inférieurs.
Une motivation supplémentaire pour perdre du poids (comme si on en avait besoin).
J’ai eu vraiment du mal en lisant cette étude, je trouve que c’est encore plus stigmatisant pour les personnes dont ce n’est pas la faute, dont le surpoids est dû à une maladie ou à un problème génétique.
Donc non seulement vous êtes malade, vous êtes gros parce que vous êtes malade et que ça ne se soigne pas ou mal ou que vos médicaments vous font grossir et cette surcharge pondérale vous amène dans un état de pauvreté (chômage, moins de reconnaissance au travail donc moins d’avancement, etc ..).
Ca fait beaucoup pour une seule personne !
Soyez informé avant tout le monde de nos nouveaux articles et bénéficiez des offres de nos partenaires
Poster un Commentaire