Interview d’une travestie soumise à un maître arabe hétéro musulman algérien

Interview d'une travestie soumise à un maître arabe hétéro algérien musulman

Interview exclusive d’une femelle travestie soumise à un maitre arabe qui nous raconte sa vie avec son alpha hétéro algérien pendant 5 ans.

Sommaire

Bonjour, pouvez-vous vous présenter ? 

Bonjour, oui bien sûr, j’ai 59 ans, je suis français d’origine espagnole par mon père et d’origine italienne de par ma mère. Ma taille est de 1,75m pour 90kg (j’ai 20 kilos à perdre), les yeux marrons, cheveux blanc, des petits seins naturels avec de belles tétines bien développées. Je suis une lope à rebeus, une salope à arabes, en total vénération des arabes, une travestie soumise à un maître arabe algérien musulman. Sexuellement, je suis 100% passif(ve), soumis(e). J’ai un mental de femelle, de soumise, de salope, j’aime me sentir pute et chienne et j’aime sentir que j’appartiens à un maître arabe, que je suis à lui, sa femelle, sa pute, sa vide couilles. Je suis une personne discrète dans ma vie de tous les jours mais je me transforme en véritable chienne et putain en privé avec mon partenaire. Sexuellement je n’ai pas ou peu de tabous, je me lâche totalement et je suis assez ouvert(e) à toutes sortes de plans et scénarios excitants. Lorsque je me connecte sur des sites de rencontres ou que je suis avec des partenaires je me présente généralement avec des pseudos tels que ‘’LOPABEUR’’ (salope à arabe) ou ‘’LOPEABEURTEPU’’ (salope et pute à arabe), ‘’Tepu’’ étant le mot pute en verlant (à l’envers). Ou bien ‘’RACHIDA KAHBASAOUI’’ lorsque je suis en femelle et en contacte directe avec les arabes. Rachida pour le côté féminin et parce que c’est un prénom arabe que j’aime beaucoup, kahba qui veut dire pute en arabe et saoui (qui sonne très arabisant) qui avec l’assemblage de kahba et saoui forme mon nom de famille arabisant virtuel. Mais au départ, quand j’ai commencé ma vie de femelle travesti, je m’appelais Natacha Lakokine. C’est un de mes partenaire sexuel régulier de l’époque qui m’avait suggéré le nom ‘’la coquine’’ que j’ai ensuite transformé en ‘’Lakokine’’ que j’ai adopté tout de suite car cela m’avait bien plu. Natacha étant un prénom qui me plaisait beaucoup j’ai opté pour celui-ci qui me va très bien. Mon prénom et nom arabisant est venue par la suite lorsque je me suis inscrite sur un site dédié au personnes comme moi, qui se sentent femelles, qui souhaitent vivre en femme arabe voilée, éduquée en mode arabisation et qui sont à la recherche uniquement de partenaires arabes. Donc Rachida Kahbasaoui est devenue une évidence pour moi. Je suis une personne sérieuse, équilibrée et je pense intéressante. Je m’intéresse à beaucoup de choses, j’adore cuisiner, lire (développement personnel, psychologie, philosophie, spiritualité), me cultiver (théâtre, cinéma, musées, expos, concerts). Puis la photographie, la gastronomie donc découvrir de bons restaurants et plus généralement la cuisine étrangère (arabe, italienne, turc, iranienne, asiatique, russe). Je suis une personne curieuse et sociable et j’aime m’intéresser à l’autre, surtout si il est très différent de moi. Ensuite j’aime apprendre des différentes cultures et bien évidemment particulièrement la culture arabe qui me séduit pour plusieurs raisons. Bien évidemment en premier par la beauté viril des mâles alphas arabes, la gastronomie (le couscous, les pâtisseries orientales, les tajines….mon dieu, quel délice), l’architecture : j’adore la beauté des mosquées et des palais et riyad.

Vous vous définissez comme une lope soumise, qu’est-ce que c’est ?

Une lope soumise pour moi, c’est une personne qui se considère et se comporte comme une salope, une chienne et qui a un comportement de femelle. Elle est soumise à son partenaire qu’elle considère comme supérieur et avec qui elle doit avoir du respect, de la vénération et de la crainte. Puis elle se doit d’être à son service pour combler et satisfaire ses attentes, ses désirs, ses fantasmes et son confort quotidien. C’est ma vision de la lope soumise mais j’imagine et comprend très bien que cela peut être vu différemment par d’autres personnes qui se considèrent aussi comme lope et soumise.

Comment devenir une bonne lope, une travestie soumise à un maitre arabe ?

Pour devenir une bonne lope, une travestie soumise à un maitre arabe, il faut en avoir le mental et avoir très envie d’aller dans cette voie. On ne devient pas une lope du jour au lendemain. En général c’est déjà là, au fond de soi, enfoui dans un coin dans l’attente que ce désir d’être réellement et concrètement une lope s’active en nous. Il nous pousse ensuite à faire les démarches pour atteindre ce désir profond. Devenir une bonne lope demande donc d’être impliqué au maximum dans ce que l’on entreprend pour le devenir.

Apprendre donc le comportement de la lope (mentalement, sexuellement, physiquement, intellectuellement). Puis apprendre aussi à se connaître et à s’écouter afin d’aller vers ce à quoi nous nous destinons et correspondre à la lope idéale que nous souhaitons être.

Pour le cas de la lope femelle, de la travestie soumise à un maitre arabe, il est important d’apprendre les codes de la féminité, avoir un comportement féminin. Ainsi un camionneur baraqué portant juste une perruque et une robe ne fait pas très bandant et n’a aucune crédibilité. Il faut donc apprendre à se comporter comme une femme, marcher comme une femme, penser comme une femme. Puis sexuellement se sentir femme, avoir une voix de femme. Personnellement je pratique des vocalises pour pousser ma voix dans les aiguës, une sorte de gymnastique vocale afin de m’habituer à parler de manière féminine avec une voix de femelle douce et fine.

Devenir une bonne lope c’est aussi être à l’écoute de notre maître arabe, notre mâle alpha et rajel, savoir décrypter ses envies, ses besoins, ses fantasmes et les devancer avant qu’il ne nous le demande. Savoir ce qu’il aime, comment il aime se faire sucer, sa position préférée pour baiser sa lope, comment avoir le bon comportement qui va l’exciter et le rendre fou. Cela s’apprend, par une éducation, un dressage et un formatage fait par le maître et propriétaire de la lope. Mais pour cela, il faut qu’il y ait une très grande affinité entre les 2 partenaires, le maître et la travestie soumise à un maitre arabe. Puis qu’il y ai aussi une confiance totale l’un envers l’autre, du respect et surtout que la relation soit dans la durée. En effet sur un plan d’un soir cela ne fonctionne pas, en tout cas pas pour moi. Je ne peux pas connaître et donc satisfaire pleinement un maître d’un soir dont je ne sais presque rien. Ce sera juste un plan cul avec lequel je vais lui montrer mes talents de salope et de putain mais je ne serais pas optimale avec cette personne d’un soir. En effet je ne la connais pas, il ne peut pas y avoir cette confiance qui ne peut exister que sur le long terme et le durable.

Chaque lope est différente et nous ne recherchons pas toutes la même chose. Selon son vécu, son parcours, ses désirs profonds, nos fantasmes et en fonction aussi de notre personnalité. Enfin également en fonction du style de maître que nous recherchons.

Quel chemin avez-vous parcouru pour arriver à devenir une travestie soumise à un maitre arabe ?

Pour y arriver, le chemin parcouru s’est fait naturellement, progressivement. Finalement sans que je m’en rende compte. J’avais à la base une nature de soumis et de passif. Très jeune, vers mes 16 ans, j’étais déjà en recherche avec des partenaires virils et dominants et très actifs. Pas particulièrement arabe, au commencement mes partenaires étaient variés et de nationalités différentes. J’ai fait le tour du monde rien qu’en ayant des rapports sexuels. Dans ma vie j’ai connu des français, des italiens, espagnols, turcs, libanais, syriens, iraniens, algériens, tunisiens, marocains, kabyle, égyptiens, suisses, allemand, africains, russes, portugais, serbes, anglais, américains, japonais, chinois, thaïlandais, péruviens, mexicains, grecs.

Au début, dans ma recherche de partenaire, je recherchais bien évidemment le mâle viril, macho, dominateur mais ce n’était au début que passager, pas régulier. Mon obsession pour le mâle alpha arabe macho, viril, dominateur est venue progressivement et un peu plus tard. J’ai eu des relations sentimentales, des relations dites normales mais qui n’ont jamais duré. J’étais jeune, insouciant et j’étais plus préoccupé à m’amuser et à collectionner inconsciemment les partenaires sexuels. J’étais je crois fasciné par mon pouvoir de séduction car très jeune j’étais très attractif physiquement et sexuellement. Je pouvais avoir presque tous les mecs que je voulais, parfois jusqu’à 4 à 6 dans la semaine.

Ensuite j’ai vécu 9 ans en couple avec un portugais qui était très gentil, adorable, intéressant, drôle et qui m’a permis de grandir et de devenir un homme adulte réfléchi et responsable. Je lui dois beaucoup dans mon évolution humaine.

Notre relation n’a toutefois pas été simple car je le trompais très souvent, nous avons eu des conflits, des séparations. Mais je suis quand même resté avec lui 9 ans car il m’apportait une stabilité et m’aidait à garder une ligne de conduite droite et juste, même si ce n’était pas facile pour moi car j’ai eu une vie et un passé difficile et compliqué.

Pouvez-vous nous définir ce qu’est une lope à arabe ou une lope à musulman ?

Une lope à arabe et à musulman est une personne donc qui se sent inférieur, salope, femelle, travestie soumise à un maitre arabe. Elle est dans la vénération de l’homme arabe, le mâle alpha. Elle pense que son rôle est de servir l’être supérieur qu’est l’arabe. J’idéalise complètement les arabes. Ils sont pour moi les hommes les plus virils, les plus machos et les plus dominants. C’est dans leur nature et dans leur mode de vie d’être des machos dominateurs et d’avoir des esclaves pour les servir.

Bien évidemment tout cela est faux et irrationnel, il y a autant d’hommes virils, machos, dominateurs chez les français, les blacks, les latinos ou autre nationalité mais pour moi le must, c’est l’arabe. Tout est dans la tête de la lope qui s’est fait une fixette sur quelque chose, ici, l’arabe et surtout musulman.

Le côté musulman rajoute ce sentiment de respect, de supérieur et d’autorité.

Quand je suis en relation avec un arabe non musulman pratiquant, il manque quelque chose. Avec un arabe musulman pratiquant, mon estime pour lui monte en flèche. J’ai encore plus envie de lui appartenir et d’être sa femme, sa travestie soumise à un maitre arabe.

Je sais que tout ça est irrationnel, tout se passe dans la tête et s’explique.

Pourquoi ce besoin d’appartenir et d’être travestie soumise à un maitre arabe musulman hétéro dominateur ?

Après 10 ans de psychanalyse et des tonnes de livres sur les sujets de la psychologie, la perversion, le sado-masochisme, les pulsions sexuelles, le fétichisme, mais également l’identification de ‘’l’autre’’, le transfert ou bien le manque de confiance en soi, j’ai pu enfin mettre des mots et comprendre beaucoup de choses dans ma vie.

Ce besoin d’appartenir et d’être une travestie soumise à un maitre arabe musulman hétéro dominateur est relié à 3 personnes clef dans ma vie et mon passé. Mon père, ma mère et mon frère aîné.

Mon père est espagnol mais il est né au Maroc et vivait au Maroc avec sa famille : mes grands-parents, oncles et tantes. Quand il a rencontré ma mère en France lors de son service militaire et qu’il a ensuite épousé ma mère, ils ont vécu les dix premières années de leurs vies au Maroc.

Mon père est l’aîné d’une grande fratrie. Il est donc le patriarche. Jusque dans les années 1950, 1960, l’aîné des garçons avait un rôle très important et bien souvent l’aîné des garçons est idéalisé, fantasmé et tout repose sur lui. Cela fait partie de la culture méditerranéenne.

Mon père est décédé lorsque j’avais à peine 5 ans à la suite d’un accident de la route. J’ai donc subi l’absence paternelle et la présence d’un père m’a terriblement manquée.

Mon père était quelqu’un de très viril, très typé, de très macho, violent, alcoolique et tyrannique. Ma mère en a largement subi les frais avec des violences conjugales très fréquentes. Le peu de souvenirs que j’ai de mon père sont des souvenirs de violence. Lorsque j’avais 1 an, je pleurais la nuit car j’avais mal aux dents et cela rendait mon père violent. Je me revois dans mon lit d’enfant en bois marron avec des incrustations d’animaux. Je vois cet homme très grand : avec nos yeux d’enfant de 1 an nous voyons les adultes comme des géants. Mon père me frappait avec sa ceinture car ça l’insupportait de m’entendre crier. Un autre souvenir très marquant et très violent : à la maison nous étions une famille pauvre et il n’y avait pas souvent de quoi manger, sauf pour mon père. Un jour je pleurais car j’avais faim mais il n’y avait pas de quoi manger. Mon père a voulu me couper la main pour me la donner à manger. Ma mère s’est évidemment interposée et a tout pris sur elle. Je devais avoir 3 ou 4 ans. Ce sont des souvenirs violents qui vous fracassent à vie.

Je garde donc des souvenirs d’un père viril, violent, macho, dominateur, qui a vécu au Maroc. Quand je regarde parfois des photos du passé, je vois des photos de mon père entouré de ses amis qui étaient arabes.

Cette absence de père, je l’ai donc très longtemps recherché à travers mes relations avec mes partenaires. Il fallait donc que mes partenaires soit âgés entre 40 et 50 ans quand moi j’en avais 20. Puis virils, macho, dominateurs, violents et bien évidemment arabes. Car tout cela me rappelait mon père et j’avais besoin de retrouver cet environnement qui m’a manqué. J’avais donc associé les arabes, la violence, le machisme et la domination avec mon père. J’ai fait ce que l’on appelle un transfert, l’autre est mon père, mais comme je n’ai que des souvenirs négatifs et violents, je suis resté donc dans une même logique avec mes partenaires. Raison donc pour laquelle je suis devenu soumis et en recherche d’un maître musulman.

Puis mon côté passif, soumis et femelle très certainement car je me suis identifié à ma mère qui était passive et soumise. D’où mon besoin d’être une femelle et d’avoir besoin d’une relation mari et femme, une identification à mon père et ma mère.

Le côté appartenance très certainement pour me rassurer de cette absence de père et donc d’être rattaché à ce lien manquant. D’où ce très fort besoin d’appartenir à un maître et de préférence arabe et si possible viril, macho, dominateur, violent.

Mon côté pute est je pense très fortement lié à mon frère puisque j’ai été violé par celui-ci de l’âge de 9 ans jusqu’à mes 17 ans. Pendant longtemps et inconsciemment je me suis dit que si mon frère me prenait comme sa pute, je pouvais donc être la pute de tout le monde.

Voilà donc ce qui explique ce besoin d’appartenir et d’être soumis à un maître musulman dominateur tout en étant une femelle et être une pute. Finalement une travestie soumise à un maitre arabe.

Parlons vocabulaire : que veulent dire les mots « rajel » et « kahba, kelba » ?

Le mot Rajel exprimé en arabe explique la condition d’un homme qui est respectable, bien sous tout rapport, de bonne vertu.

Il a été détourné dans le monde de la domination / soumission entre un esclave blanc et un maître arabe pour exprimer plutôt un homme viril, macho, dominateur, qui sait se faire obéir et se faire respecter et qui exploite son esclave. Plus rien à voir donc avec le mot d’origine qui est plus vertueux et qui a un autre sens.

Le mot Kahba en arabe veut dire pute. Tu es une bonne kahba (tu es une bonne pute).

Kelba signifie en arabe, chien / chienne. Tu es ma kelba (tu es ma chienne).

Pourquoi les arabes spécifiquement ? Pourquoi pas une lope à latino, à asiatique ou à black (BNWO) ?

L’identification et la recherche paternelle, donc ce besoin d’une relation exclusivement avec un arabe afin de retrouver ce manque et de vivre ce qui m’a été retiré. Un père qui vivait dans un pays arabe et musulman et dans un monde macho.

Je n’ai rien contre les autres nationalités, j’ai d’ailleurs une très forte attirance aussi pour les blacks et les latinos, ou même certains asiatiques, mais rien ne vaut à mes yeux un arabe.

Comment faites-vous pour trouver un musulman alpha hétéro qui cherche une travestie soumise à un maitre arabe ?

Il y a différentes façons de trouver un musulman alpha hétéro qui cherche une travestie soumise à un maitre arabe, selon les époques et les avancées technologiques. Ayant 59 ans, j’ai connu différentes façons de rencontrer mes partenaires.

Au début, j’ai rencontré mes partenaires arabes alphas sur les lieux de dragues tels que parcs et jardins la nuit, pissotières, parkings, quais de seine car j’habite Paris. Il y a eu aussi la période Minitel.

Je rencontrai souvent aussi mes mâles alphas arabes directement dans la rue ou dans le métro. Des hommes en quête d’une travestie soumise à un maitre arabe hétéro musulman. Parfois même dans les magasins, il m’est même arrivé de draguer au cinéma, car dans ma jeunesse je faisais du rentre dedans. J’avais l’avantage d’être un très beau garçon, j’étais très attractif physiquement et sexuellement. C’était donc très facile pour moi d’aborder les mecs, j’étais pourtant quelqu’un de plutôt réservé. Je n’étais pas timide, mais surtout très inconscient, je ne me posais pas de question, le mec me plaisait et j’y allais.

J’ai souvent aussi, à une époque, rencontré mes mâles alphas arabes dans des bars à cul, les backrooms, les saunas, en discothèque également. Ils cherchaient une travestie soumise à un maitre arabe.

Puis est venue la période des réseaux téléphoniques. J’avoue qu’à cette période ce fût très prolifique pour moi car il était très facile de faire des rencontres sur les réseaux téléphoniques. Il y en avait pour tous les goûts, moi bien évidemment je privilégiais les réseaux dédiés aux arabes et aux lopes qui les aiment. Je savais bien me vendre, j’employais le bon vocabulaire, je proposais ce qu’attendaient les rajels machos dominants arabes. Mon annonce de travestie soumise à un maitre arabe était bien rôdée. Je commençais à avoir beaucoup d’expériences et à très bien connaître les arabes musulmans hétéros. Ainsi leurs goûts, leurs envies, leurs fantasmes, leurs manières de fonctionner, ce qu’ils attendent d’une lope.

Aujourd’hui, les rencontres se font à 95% sur les sites de rencontres sur le net. J’ai été sur des sites classiques mais aussi des sites dédiés aux rebeus. Actuellement je suis sur un site spécialisé pour arabes et blacks.

Qu’est-ce qui vous déplait dans les rencontres en ligne ?

D’abord il y a beaucoup trop de fantasmeurs et de mecs exigeants. On est chez soi, on fait son marché sur son canapé et on veut le meilleur. Mais bien souvent, il ne se passe rien. Il y a le fait aussi que j’ai vieilli, les mecs précisent pas plus de 30 ans ou 40 ans. Mais au delà, cela devient plus compliqué de trouver son arabe alpha. Pourtant, après 40 ans on a beaucoup plus d’expériences. En outre, on sait mieux ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas, on s’adapte plus facilement car on a eu tellement de partenaires.

Puis les mecs recherchent pour ‘’tout de suite’’. Ils sont chaud bouillants, les couilles pleines et veulent une lope immédiatement. Mais j’aime bien d’abord discuter, voir si nous avons les mêmes envies, si le feeling passe. Toutefois cela embête les mâles qui veulent baiser sans discuter. Mais je ne reçois pas, ni ne me déplace si je n’ai que 10% d’informations. Je ne veux pas que nous perdions notre temps pour rien.

Pour suivre, je suis obligé de toujours prévoir 3 ou 4 rendez-vous en même temps. Car il y a beaucoup d’hommes qui te posent des lapins et ne viennent pas. Sans compter les faux profils et les fantasmeurs. Parfois j’attends sans voir personne et je gâche ma soirée à me préparer pour rien. D’abord me faire un lavement, une préparation qui prends jusqu’à 1h30. Puis me maquiller : du maquillage de qualité gaspillé. Et m’habiller.

Sans oublier que tout cela à un coût. Je trouve injuste que les travesties doivent investir un maximum financièrement pour être belle, féminine et sexy pour vivre leurs fantasmes. Épilation, maquillage, parfum, vêtements, bijoux, perruque. Les mecs arrivent les mains dans les poches et vivent leur fantasme de coucher avec une travestie gratuitement. Certains étaient galants et venaient avec des préservatifs, des bas, ou m’offraient un petit bijou. D’autres emmenaient de l’alcool, mais 90% des mecs que j’ai rencontré sont des égoïstes. Ils ne pensent pas aux dépenses engendrées pour être hyper féminine, crédible et sexy.

Donc je prends plusieurs rendez-vous en même temps. Ainsi j’ai au moins un si ce n’est deux mecs dans la soirée sur les quatre ou six prévus. Premier arrivé, premier servi. Si les autres arrivent, soit ils attendent leur tour pour avoir une travestie soumise à un maitre arabe soit ils repartent.

Je reçois dignement, lumière tamisée, bougies, alcool, je fais parfois aussi des massages pour lesquels je reçois souvent des félicitations. J’ai eu de nombreux éloges sur mes qualités d’accueil et de salope. Notamment des ‘’waow’’ lorsque le mec rentrait pour la première fois chez moi, surpris par mes efforts pour plaire et pour passer du bon temps, en plus de mes qualités de salope sexuelle.

Comment vous habillez-vous en travestie soumise à un maitre arabe pour plaire aux hommes ?

Pour être une belle travestie soumise à un maitre arabe crédible, féminine, sexy, il faut investir. Le maquillage, la lingerie, les tenues sexy, les différentes perruques, les bijoux, le parfum de femme, les faux ongles, les faux cils. Puis les accessoires, les talons hauts, les bas qu’il faut changer presque à chaque fois car trop fragile. Je suis assez exigeante et j’aime la qualité. Puis il faut changer de look régulièrement afin de fidéliser les mecs, de peur qu’ils se lassent et aillent voir ailleurs. Il ont besoin sans cesse d’une nouvelle lope, d’une autre femelle travestie soumise à un maitre arabe. J’étais toutes ces femelles en même temps car brune, puis blonde, cheveux courts, long, bouclé, look sexy, look putain, look bourgeoise. 

Pendant ma période femelle travesti travestie soumise à un maitre arabe, je me suis faite le plus de musulmans hétéros. Il est beaucoup plus facile de trouver un rajel et mâle alpha arabe en femelle travestie soumise à un maitre arabe plutôt qu’en homme. En homme tu as 20% de chance de trouver un arabe. En femelle travesti il y a 100% de chance de trouver un arabe. A condition d’être crédible, féminine, sexy et bandante, ce qui est rare chez les travesties.

Qu’appréciez-vous dans une relation maître arabe macho et soumise féminisée ? Est-ce physique, intellectuel ?

Ce que j’apprécie dans une relation entre un maître arabe viril, macho, dominateur et une femelle soumise, c’est que l’arabe me voit comme sa femelle, sa femme. J’ai toujours rêvé d’épouser un arabe et d’être sa femme. Ainsi je me sens passif(ve), soumis(e), lope, fragile. Puis je ne me trouve pas assez viril, donc je recherche mon contraire. Un partenaire très viril, voir hyper viril, macho, dominant, musclé, baraqué, costaud, très poilu, avec une barbe c’est encore mieux. Donc un mâle alpha qui dirige, qui commande, qui protège sa petite femelle fragile et sa travestie soumise à un maitre arabe. Ainsi je me sens protégée par sa force, sa virilité et je m’abandonne entre ses mains et sa loi.

Dans une relation maître arabe macho et femelle soumise, bien évidemment c’est avant tout physique. Le mâle doit ressembler à un mâle très viril et la femelle doit ressembler à une femelle féminine, sexy. Mais cela veut dire aussi dans le comportement, que le mâle alpha et rajel arabe dominant se comporte comme tel, viril, puissant, dominateur, dirigiste, protecteur. Tandis que moi je me comporte en femme fragile, soumise, féminine, sexy, affectueuse, douce, bienveillante envers mon homme, mon mâle. Je suis à son service, à ses petits soins, le bichonner, le servir telle que le ferait une femme marié à son homme arabe et m’abandonner à sa loi. Puis que chacun soit à sa place et joue son rôle, le mari et mâle alpha arabe domine et est là pour prendre en main sa femelle, la diriger, l’éduquer, voir l’exploiter. Ensuite il assume de posséder sa femme qu’il a transformée en esclave et en putain. Tandis que la lope femelle soumise, sa place c’est aux pieds de son mari et propriétaire arabe. Elle est rampante comme une chienne, soumise, tenue en laisse, en totale vénération, à son service. Elle doit être sa femme, mais aussi sa chienne, sa putain, sa servante, sa boniche, son esclave.

Bien sûr, la relation doit aussi être intellectuelle. Tout se passe pratiquement dans ma tête, je suis très cérébrale, je vis tout dans ma tête avant de le vivre concrètement et physiquement.

D’ailleurs je suis beaucoup plus excitée quand je ressens les choses intellectuellement puis physiquement mais pas l’inverse. Il faut d’abord que je sois totalement dans l’excitation et le fantasme mentalement pour ensuite y trouver de la satisfaction et du plaisir physiquement. Par exemple, j’adore me faire cogner, recevoir la fessée, des gifles, voir même me faire tabasser hard, mais cela m’excite avant tout dans ma tête. Ensuite étant tellement excitée et en extase, j’y éprouve du plaisir physique. Donc je prends du plaisir à me faire cogner et à vivre des moments de violence. L’inverse ne marche pas.

Vous avez déjà connu plusieurs maîtres algériens et musulmans ou autres ?

Oui, j’ai eu plusieurs maîtres, mais des maîtres d’un soir, d’une semaine, d’un mois, certains cela a duré plusieurs mois mais pas de façon régulière. C’était des plans cul mais avec des arabes qui venaient très régulièrement, des habitués. J’ai eu un maître Serbe qui était top, comme j’aime, un vrai mâle, viril, macho, dominateur, costaud, poilu, style rugbyman, gueule hyper viril, avec qui je m’entendais très bien et avec qui il y avait un super feeling. On a vécu de bons moments ensemble. 

J’ai eu également un maître Algérien qui s’appelait Ali, qui n’était pas très beau, petit, les oreilles décollées, pas musclé, franchement très moyen et qui ne m’attirait pas plus que ça. Nous nous étions rencontré sur annonce téléphonique, il avait traversé quasiment toute la banlieue pour venir chez moi. Quand il est arrivé chez moi et que j’ai ouvert la porte, je me suis dit que ça n’allait pas le faire car il ne me plaisait pas. Mais j’ai eu pitié de lui, je lui ai donc proposé de rentrer et de lui offrir un verre. Nous avons commencé à discuter, au fur et à mesure de nos échanges, je le trouvais très sympathique, intéressant. Puis nous avions de bonnes discussions, finalement je me suis dit ‘’pourquoi pas’’ et nous avons eu une relation sexuelle et…..ce fût extra. Nous nous sommes vraiment éclaté, sexuellement c’était super. Nous nous sommes super bien entendu. Finalement il est revenu et est devenu mon maître régulier pendant plusieurs mois et à chaque fois nous nous sommes superbement éclaté sexuellement, c’était le top. D’ailleurs, il est le seul avec qui j’ai eu une confiance absolue et qui a pu me mettre les menottes aux poignets chez moi. Ce que j’appréciais chez lui, c’était bien évidemment nos jeux sexuels, sa domination, son côté pervers et vicieux, mais ensuite on pouvait discuter et refaire le monde et il était très gentil. Il m’a emmené une fois chez lui, il habitait un quartier arabe, son appartement était entièrement décoré à l’orientale, j’étais au paradis. Il nous arrivait aussi de nous promener la nuit main dans la main dans la rue autour de chez moi, j’adorais ça.

J’ai eu également un maître juif-marocain marié, qui n’était pas très beau, il ressemblait à Serge Gainsbourg, mais sexuellement c’était également le top. En résumé il ne faut pas s’arrêter sur l’apparence, le plus important c’est le feeling.

Mais j’ai eu de tout, des maîtres sympa, cool, sérieux et intelligents. Mais j’ai aussi eu des malades mentaux, des maîtres qui n’avaient aucune limite et qui allaient trop loin dans leurs délires. Pour ces hommes dominer et mettre en esclavage n’était plus un jeu, un plaisir, mais une réalité obsessionnelle et qui était plus lié à une pathologie mentale aggravante.

Mon dernier maître arabe remonte à 2019, juste au tout début de la Covid, un algérien de 70 ans, divorcé, qui était encore très bien. Un homme éduqué et sérieux, qui vivait seul et qui cherchait sa femelle travestie pour en faire son esclave pour une vie commune. Malheureusement à cause de la covid, nous nous sommes perdus de vu, nous ne nous sommes vu que 3 fois.

Quelle serait votre relation idéale avec votre propriétaire et maitre arabe ?

La relation idéale est très rare. Nous avons tous des défauts, des failles, des manques, parfois on s’entend bien et on se complète mais pas à 100%.

Il faut l’accepter. Rechercher bien évidemment la relation idéale, tout faire pour que cela fonctionne et que cela dure. Mais que cela ne soit pas parfait, sinon il ne nous reste que le virtuel ou l’intelligence artificielle. Je préfère une relation imparfaite mais réelle plutôt qu’une relation parfaite avec une intelligence artificielle.

Une relation idéale, c’est d’être dans une relation de couple, dans une relation sérieuse, durable. Dans le pire des cas, une relation juste régulière. Puis bien s’entendre, que l’on soit sur la même longueur d’onde, sur la même recherche, les mêmes désirs, les mêmes fantasmes de travestie soumise à un maitre arabe.

Qu’il y ait des différences de goûts, d’envies, de fantasmes ou de manière de fonctionner est une bonne chose. Rencontrer des personnes qui avaient des envies différentes m’a permis de découvrir d’autres univers et d’en apprécier certains côtés insoupçonnés qui m’ont plu. Cela permet aussi de se dépasser, de vivre des choses plus fortes, plus intenses et excitantes.

Quelles sont les clefs pour une relation idéale travestie soumise à un maitre arabe ?

Il faut qu’il y ait une confiance et un respect mutuels. Pour que la lope travestie soumise à un maitre arabe s’investisse et se lâche au maximum dans sa relation avec son propriétaire et maître musulman hétéro, elle doit pouvoir lui faire confiance. Elle doit savoir que le maître respecte les limites de sa lope, qu’il ne l’entraîne pas dans des histoires tordues. Puis qu’il ne l’oblige pas à faire des choses qu’elle ne souhaite absolument pas faire, ou subir des choses trop dégradantes.

Il en va de même pour le maître arabe, il doit pouvoir avoir confiance en sa femelle travestie soumise à un maitre arabe. Puis qu’il peut compter sur elle, sur sa fidélité, son dévouement. Ensuite qu’il sache que son investissement ne sera pas perdu, qu’elle saura le rendre heureux, le satisfaire et être à la hauteur de la tâche qu’il lui demande.

Tout cela s’apprend, d’abord en ayant une relation régulière, ce qui permet de mieux se connaître l’un et l’autre. Ensuite d’avoir suffisamment confiance l’un envers l’autre pour pouvoir se confier, dévoiler nos envies, nos fantasmes, nos désirs, nos attentes. En connaissant mieux son partenaire on peut mieux le satisfaire et le servir. C’est pour ça qu’il est important que le maître musulman hétéro parle à sa lope travestie soumise à un maitre arabe. Combien de fois j’ai rencontré des maîtres arabes que mes questions ennuyaient. Pourtant les questions permettent de mieux connaitre, servir et satisfaire.

Il y a une chose qui peut sembler contradictoire c’est la notion de respect. En effet le respect parait inexistant quand l’un des partenaires abuse et exploite l’autre et l’utilise comme un simple objet sexuel, un esclave. Mais si la relation est un jeu, un désir sous contrôle, qu’il y a des limites, des règles, un contrat alors il y a du respect. On peut aimer se faire maltraiter, aimer se faire rabaisser, humilier et exploiter mais exiger que cela soit fait dans le cadre de cet accord.

Malheureusement, très peu de maîtres ont des règles, des limites et du respect. La lecture des annonces de rencontres me fait peur, cela va loin dans la déchéance et l’immonde.

J’aime être soumise, passive, bonne lope, belle putain et bonne chienne, on peut ne pas me respecter pendant l’acte sexuel ou pendant le scénario qui a été mis en place. Mais il faut se garder une ligne de conduite et des règles de base et surtout des limites. Malheureusement dans le monde SM et domination/soumission, plus on obtient, plus on en veut. Jusqu’au moment ou on va trop loin dans la déchéance et l’irrespect.

Vous avez eu une relation plus marquante que les autres : pouvez-vous nous en parler ?

Oui, j’ai eu l’occasion de rencontrer un maître algérien avec qui j’ai vécu une belle histoire exceptionnelle.

Mon merveilleux Abdel, mon roi. J’en ai été follement amoureuse et j’ai vécu cinq belles années avec lui. Je souhaite cela à toutes les lopes et les maîtres arabes.

La perle rare existe et quand on la trouve on fait tout pour que cela dure et moi j’ai tout fait pour vivre auprès de mon mari Abdel que j’ai aimé profondément.

Décrivez nous votre rencontre avec ce beau maître algérien hétéro ?

Nous nous sommes rencontrés alors que j’étais déjà en femelle travestie soumise à un maitre arabe. A l’époque, je faisais pas mal de rencontres sur les réseaux téléphoniques.

Abdel a répondu à mon annonce et m’a contacté. Il voulait une chienne pour se vider les couilles. C’était un samedi soir de septembre 2004. Abdel est arrivé vers 21h, quand j’ai ouvert la porte je me suis dit ‘’C’est 100% ce que j’aime et il est l’homme que je rêve d’épouser’’.

Abdel est rentré, il m’a trouvé charmante et m’a dit ne pas être déçu par ce qu’il voyait. Je lui ai proposé un verre, nous avons commencé à discuter. En effet je n’aime pas passer directement au sexe quand je reçois chez moi. Sur des lieux de drague ou autres c’est différent.

Il me raconte qui il est, qu’il est pharmacien, qu’il vit seul, qu’il aime profiter de la vie et qu’il fantasme grave sur les travesties et les trans. Je lui parle aussi de moi, que j’ai gagné le 2ème prix dans un concours de miss travesti dans un club. Il me dit que c’est mérité vu les efforts que je fourni pour être crédible, sexy et bien femelle. Je lui répond que je suis totalement en vénération des arabes et particulièrement des algériens, une travestie soumise à un maitre arabe hétéro. Puis nous en venons très vite au sexe, d’ailleurs il était chaud bouillant et il était venu essentiellement pour se faire vider ses couilles bien pleines. Très vite, il me demande de le sucer pendant qu’il sirote son verre d’alcool. Il se laisse faire comme un bon macho qui se respecte. Je suis aux anges, j’ai devant moi le mec de mes rêves, apparemment je lui plais bien. De plus sa queue est splendide et je m’en occupe dignement, je suce, je tète, je pompe, je biberonne, je déguste ce bonbon au goût d’orient. Puis je lèche ses couilles pendantes et bien lourdes remplies de sperme, je les mange entièrement dans ma bouche de salope. Nous passons ensuite à des choses beaucoup plus sérieuses. Je sors mon collier d’esclave et ma laisse de chienne et je sens que cela lui plait beaucoup. Il s’empresse de me mettre le collier au cou et tient fièrement la laisse dans ses mains et me fait ramper à ses pieds. Il me dit être surpris car il ne s’attendait pas à du hard tout de suite. Je lui avoue que j’en avais très envie avec lui et qu’il m’excite beaucoup et qu’il me plait énormément.

Le téléphone sonne, c’est un autre rendez-vous mais que j’annule, je privilégie ce moment avec Abdel, ce qu’il apprécie. Il ne devait rester qu’une heure jusqu’à 22h, finalement il est parti à 5h du matin et nous avons passé une soirée délicieuse. Bien sûr il a eu droit à ma chatte anale qu’il a magnifiquement honoré.

Abdel est parti en me disant qu’il avait passé une très bonne soirée, m’a complimenté sur mon look, mes efforts pour être très femelle et sexy puis sur ma prestation sexuelle. Enfin, comme la plupart des arabes qui viennent me voir, il m’a affirmé que je suis l’une des meilleures suceuses de Paris qu’il ai rencontré. En outre il adore ma chatte anale qui est bien ouverte, bien propre et très accueillante, qu’il m’a trouvé bien salope et très docile. Il me dit qu’il me recontactera.

Pourriez-vous nous décrire votre ex maitre arabe hétéro ?

Physiquement : 34 ans, algérien, très brun, très poilu, 1,85m pour 95kg, cheveux courts noirs, yeux marrons, pointure 43, sportif, très viril, style bear, style rugbyman, barbu. Puis de très belles lèvres charnues et sensuelles, de très beaux cils, un regard viril, puissant, ténébreux, un très beau torse bombé, puissant et poilu. Ensuite un cul magnifique musclé et poilu, une queue de 21cm bien droite, bien dessinée avec un très beau gland et des couilles pendantes bien lourdes et bien chargées en foutre. Il avait toujours les couilles pleines.

Mentalement : un vrai mâle alpha, un vrai rajel viril, macho, dominateur, fière, possessif, jaloux, qui aime les défis, les challenges, diriger et motiver. Exigeant avec sa femelle travestie soumise à un maitre arabe hétéro musulman. Il avait aussi un côté tendre, affectueux et gentil. Il avait un esprit très dominant mais sachant être cool quand il le fallait. C’était quelqu’un d’intelligent et avec qui on pouvait discuter, qui était sérieux et de confiance. Il était pharmacien, donc il avait fait des études et était cultivé.

Sexuellement : très vicieux, endurant, un côté animal, bestial, avec de l’imagination, parfois pervers. Mon algérien aimait la baise et le sexe et les femelles bien chiennes et bien salopes. Il avait de bons coups de queue et n’avait pas trop de tabous. Mon musulman algérien me baisait dans toutes les positions et dans tous les endroits possibles. Sexuellement c’était le vrai mâle alpha macho dominant comme j’aime. Un vrai Pacha avec sa femelle soumise obéissante, sa femelle travestie soumise à un maitre arabe, mais il pouvait aussi être tendre, câlin, affectueux.

Comment s’est passé votre prise en main ?

Au début, suite à notre première rencontre, il est revenu le dimanche suivant. Puis il revenait très régulièrement, une fois par semaine, il passait la soirée entière chez moi et on s’éclatait sexuellement. Puis par la suite il venait le samedi et le dimanche et il dormait chez moi quand il le pouvait. Cela a duré au moins quatre mois. Ensuite il voulait que je ne vois que lui, que je sois son exclusive, il voulait ma bouche et ma chatte anale uniquement à sa disposition. Il ne supportait plus de savoir qu’il y avait d’autres hommes qui venaient me voir. Je lui ai que c’était possible mais que je recherchais une relation stable, sérieuse et durable. En outre je souhaitais une appartenance et vivre en esclavage en femelle dans une relation mari et femme auprès d’un rajel Algérien sérieux et de confiance. Il était celui que je souhaitais avoir comme maître, mari et propriétaire. Je lui ai avoué que j’étais amoureuse de lui et que j’étais prête à tout pour lui. Nous avons parlé quelques temps pour mettre les choses au clair et se mettre d’accord, puis je suis devenue son officielle exclusive. Mon maître, mari et rajel algérien Abdel était officiellement le propriétaire de ma bouche, de ma chatte anale, de mon corps. Finalement il pouvait désormais disposer de ma vie de femelle travestie soumise à un maitre arabe pour satisfaire son bien être et son confort.

Quels conditions avez-vous posé ? Comment s’est passé la coexistence avec sa famille ?

D’abord je voulais être sa femme esclave chez lui car pour moi une femelle esclave doit être chez son mari arabe. Par chance, mon maître Abdel vivait seul, la plupart de sa famille étant restée au bled en Algérie. Il avait juste quelques membres de sa famille sur Paris et surtout en province. Toutefois il ne les voyait pas trop souvent et ils n’étaient pas envahissant. Sa famille venait de temps en temps d’Algérie mais on s’arrangeait dans ces moments là pour que je reste chez moi. Il pouvait donc me recevoir plus facilement, mais de toute façon je n’étais pas 24/7 chez lui, nous avions chacun notre travail.

De plus je voulais non seulement être sa femme et sa pute vide couilles mais aussi son esclave, son larbin, sa boniche et servante. Je souhaitais aussi m’occuper non seulement de sa queue et de lui mais aussi de sa maison. Puis vivre comme un vrai couple, moi sa femme à m’occuper des tâches ménagères : le ménage, le repassage, la vaisselle, la cuisine pendant que mon homme vivait comme un Pacha, un Roi. Je m’occupais de tout, mon mari et rajel algérien Abdel pouvait profiter de faire ce que bon lui semble. Il avait son esclave boniche à tout faire qui lui servait aussi de vide couilles.

Maître Abdel avait de l’expérience avec les travestis mais n’avait jamais vécu une vie de couple. Puis il ne s’était jamais engagé avec une chienne femelle travestie soumise à un maitre arabe hétéro. Il les considérait en général comme de simple putes et vide couilles. Toutefois quand je lui ai parlé de vivre ensemble en couple mari et femme pour une appartenance et un esclavage permanent, il a été surpris et séduit par l’idée de vivre cette expérience. Pouvoir avoir à sa disposition permanente une femelle travestie esclave pour son plaisir personnel égoïste de macho dominateur et pouvoir vivre comme un Roi. Par la suite il m’a avoué qu’il avait depuis longtemps le fantasme de vivre avec une femelle travestie qui lui appartienne totalement.

Comment se passait votre quotidien de femelle travestie soumise à un maitre arabe ?

Notre quotidien était le suivant. Le matin je me levais plus tôt que lui afin de me faire belle et mettre ma tenue de femelle pour qu’il se réveille avec une vue plus agréable. Entre temps je lui préparais aussi son petit déjeuner. Je le réveillais en le suçant, pendant qu’il déjeunait j’étais à ses pieds rampante comme une chienne, tenue en laisse et collier d’esclave. Parfois je m’occupais de sa queue pendant qu’il prenait son petit déjeuner. Une fois fini, je débarrassais la table, faisais la vaisselle. Ensuite il allait prendre sa douche, parfois il me demandait de le savonner ou alors je le séchais avec la serviette quand il sortait de sa douche. Puis je l’aidais à s’habiller, je faisais ses lacets de chaussures, je lui apportais ce dont il avait besoin, il n’avait pas besoin de se déplacer. Il n’avait qu’à demander et son esclave s’occupait d’exécuter les ordres et de satisfaire ses désirs. J’obéissais totalement à sa loi, d’abord car je lui appartenais et que j’étais son esclave et qu’un esclave est là pour obéir et servir son maître et propriétaire. Ensuite car je m’étais engagé à lui être totalement dévouée et soumise. Puis parce que j’ai besoin d’obéir à la loi de mon homme, mon mari, mon maître, mon mâle alpha, mon roi et rajel musulman. J’ai besoin d’être guidée, dirigée et d’être prise en main par un vrai mâle alpha arabe. Il n’y a que comme cela que je suis motivée. Quand je sais que j’appartiens à un maître arabe cela me motive pour faire mille choses alors que seule j’ai tendance à ne rien faire.

On se voyait au début essentiellement le week-end car la semaine on travaillait tous les deux. Je ne pouvais pas concilier le travail et esclavage en femelle en même temps. Cela me prenait pas mal de temps pour me préparer en femelle travestie soumise à un maitre arabe. En effet je suis exigeante et perfectionniste : épilation, maquillage, lavement anale, ongles longs vernis.

Quand j’étais chez mon maître et mari Abdel, en général je m’occupais de laver le linge, de le faire sécher, de repasser, de cuisiner. Puis de faire la vaisselle, je mettais et débarrassais la table, je faisais le ménage et mon mâle alpha algérien était très exigeant à ce sujet, il fallait que ce soit propre, rangé.

Je prenais soin de sa maison, de lui, je le bichonnais, le chouchoutais, il adorait ça vivre comme un prince et n’avoir rien à faire. C’était mon but, devenir la femme d’un arabe mais algérien de préférence, pouvoir avoir une vie de couple et ne vivre que pour satisfaire mon maître, mari, propriétaire et mon roi.

Par la suite, j’ai eu une longue période de chômage. A ce moment-là j’étais chez lui en permanence. Dès lors, notre relation a beaucoup évoluée. J’étais vraiment devenue sa femme et il me considérait comme tel et nous étions donc devenu un couple à part entière. Cela nous a rendu encore plus complices et l’appartenance et l’esclavage était devenu encore plus puissant entre nous.

Je passais la journée à la maison à faire le ménage, le repassage, la vaisselle, la cuisine. Le soir quand mon mari Abdel rentrait du travail, tout était nickel, prêt, j’avais préparé le repas, la maison brillait tellement c’était propre. Enfin j’avais eu le temps de bien me préparer pour être belle, sexy, féminine, la chatte anale bien propre et prête à l’emploi.

Le soir, mon maître Abdel me prévenait qu’il n’allait pas tarder à arriver. Ainsi je l’attendais à 4 pattes, rampante comme une chienne femelle travestie soumise à un maitre arabe. J’étais devant la porte d’entrée, avec mon collier d’esclave autour du cou et ma laisse de chienne. Ma chatte anale accueillante et prête à se faire démonter, habillée ultra sexy et bien pute.

Quand mon propriétaire algérien Abdel ouvrait la porte je me jetais à ses pieds et lui montrais ma joie immense de le retrouver. Il me caressait comme on caresse son animal de compagnie qui vous fait un super accueil. Je m’occupais de ses affaires, de le mettre à l’aise. Puis soit il me baisait direct de manière bestiale, soit je servais le repas. Parfois j’étais rampante sous la table à déguster sa queue pendant que lui dégustait les plats que je lui avais préparé. Ou nous mangions ensemble quand il avait envie d’une relation de mari et femme égale. Je mangeais aussi dans une gamelle à même le sol à ses pieds et tenue en laisse.

Souvent après le repas, il aimait regarder la télévision tranquillement, je lui servais un verre, il fumait sa cigarette. J’étais rampante à ses pieds, tenue en laisse à m’occuper de sa sublime queue et il était comme un Pacha, un Roi. Au bout d’un moment, notre relation était tellement fusionnelle qu’il n’avait pas besoin de parler pour que je comprenne ce qu’il attendait de moi, et puis nous avions des codes. Envie de se faire sucer ? Il me sifflait. Envie que je rampe à ses pieds et que je vienne me prosterner pour vénérer mon roi ? Il claquait des doigts.

Pour me défoncer ma chatte anale il n’y avait aucun code, j’étais à lui, je lui appartenais. Donc il prenait sa femelle travestie soumise à un maitre arabe comme bon lui semblait, où, quand et comme il voulait.

Comment était le sexe entre l’esclave travestie soumise et son maître arabe ?

On baisait en général dans la journée. Une fois qu’il avait vidé ses couilles, qu’il avait bien défoncé ma chatte anale, qu’il m’avait utilisé comme chienne et comme putain, il me jetait. Puis il m’ordonnait de vaquer à mes occupations de femelle femelle travestie soumise à un maitre arabe musulman : ménage, cuisine. Lui se reposait ou regardait la télévision.

Parfois je devais le masser, cela pouvait prendre un long moment, il adorait ça et je le faisais très bien. Je le massais avec mes mains de fée mais aussi avec ma langue de salope. Ainsi je passais ma langue sur son corps entier de la tête aux pieds et je fouillais les moindres recoins. Il en frémissait de plaisir et c’était pour moi un vrai régal de pouvoir déguster son corps entier avec ma langue de salope. Une chose que j’appréciais chez lui, c’est qu’il adorait se faire bouffer le cul. J’adore ça, je peux passer des heures entières à bouffer avec délice le cul de mon mâle alpha arabe. En plus je trouve que fouiller en profondeur le cul de mon maître algérien avec ma langue de chienne blanche est très humiliant. Ceci montre la totale soumission de la chienne esclave envers son rajel algérien hétéro.

Il était très endurant et avait besoin de se vider souvent les couilles, il pouvait jouir jusqu’à 4 fois dans la journée.

La nuit, quand on passait au lit, c’était la totale, parfois très hard, je me prenais des coups, mais j’adore ça. Puis c’était pervers, vicieux, sans tabou, il me crachait au visage, m’insultait de tous les noms et souvent en arabe. Ceci m’excitait encore plus et me rendait complètement folle. Ensuite je me prenais des gifles, des baffes et quand il avait un grand besoin de se défouler, je me faisais bien tabasser. Finalement il prenait ma chatte bien profondément. Une fois le sexe fini, il me jetait et s’endormait tranquillement pendant que moi je venais de me faire déglinguer dans tous les sens. Mais il avait son côté tendre et câlin. Malgré son hyper virilité et son ultra domination, il aimait aussi avoir des moments de tendresse et me faisait des câlins. J’aimais beaucoup ses moments là, j’adorais l’embrasser.

Parfois on s’endormait, il me prenait dans ses bras, j’étais dos à lui, je me sentais protégée. Il avait mes seins naturels avec mes belles tétines dans les mains qu’il aimait tripoter tout en s’endormant, sa queue dans ma chatte anale et on s’endormait comme ça.

Quelle était votre position sexuelle préférée de femelle travestie soumise à un maitre arabe?

Notre position sexuelle préférée, c’était : moi sur le dos, jambes en l’air, cuisses bien écartées, la chatte anale bien accueillante, bien ouverte. Puis il me montait dessus, venait s’empaler dans ma chatte anale et il écrasait sa femelle travestie soumise à un maitre arabe algérien de tout son poids. A ce stade j’étais totalement soumise et sous son emprise et ne pouvait plus bouger. Je n’avais plus d’autre choix que de lui servir de vide couilles et de pute soumise. Sa queue était au fond de ma chatte et dans cette position il pouvait me baiser bien profondément. Ce que j’adorais dans cette position c’est non seulement le fait de me sentir complètement et entièrement soumise, mais aussi car nous étions face à face.

Ainsi je pouvais me perdre au fond de ses yeux, j’aimais le regarder dans les yeux quand il me démontait ma chatte de femelle travestie soumise à un maitre arabe. Dans mon regard il pouvait sentir que j’étais totalement à lui, que j’étais amoureuse de lui. Je n’arrêtais pas de lui dire, que j’étais à lui, qu’il était mon propriétaire, que tout lui appartenait. J’aimais caresser son torse bombé et poilu, caresser ses bras puissants, l’embrasser, caresser ses fesses. Puis voir ce mâle viril et puissant avec sa gueule de macho dominant en train de me démonter comme une chienne et lui servir de putain pendant qu’il me caressait mes jambes, mes bas, mes porte-jarretelles. J’adorais sentir ses mains viriles et puissantes me caresser mes bas, ma lingerie sexy en dentelle et soie. Je frottais mes talons hauts sur ses jambes, je remuais bien ma chatte et la resserrais au maximum afin de lui procurer un maximum de plaisir.

Il me tenait en laisse d’une main, me cognait avec l’autre main. Il me crachait à la gueule. Je sentais sa puissance, sa virilité, sa domination et son emprise sur moi et j’étais comme une folle, il m’excitait au maximum. L’apothéose c’est quand bien évidemment il m’offrait son sperme d’algérien musulman et qu’il me fécondait. Tout comme j’étais aussi hyper heureuse et gâtée lorsque je pouvais avaler son nectar royal de roi musulman, sentir cette liqueur divine couler au fond de ma gorge et tout avaler comme une garce.

J’étais devenue sa vide couilles, son tir jus, son sac à foutre et sa pompe à sperme totale.

Est-ce que votre maître vous a prêté, a t’il fait tourner sa femelle femelle travestie soumise à un maitre arabe auprès de ses amis ?

Au début de notre relation, j’étais son exclusive, il voulait me posséder entièrement, c’était un maître hyper jaloux et très possessif et il me le faisait bien sentir. Mais par la suite, il aimait bien me partager avec des potes à lui qui était au courant de notre relation. Il ne s’en est jamais caché. C’est ce que j’ai vraiment apprécié chez lui, son côté ‘’j’assume d’aimer les travesties et j’assume de vivre avec une travestie que je considère comme ma femme”.

Au début, il faisait venir un ou deux amis qu’il invitait à prendre un verre ou à manger. Je servais d’esclave et de boniche et je faisais le service pour mon maître et ses invités. Puis il m’offrait à eux, il me baisait le premier pour leur montrer comment traiter sa chienne et comment la baiser. Finalement je leur servais de vide couilles pour la soirée ou la nuit entière. Toujours avec capotes.

Ensuite il a amené beaucoup plus de monde chez lui, quantité d’arabes qui aimaient les travesties ou qui étaient curieux de découvrir ce monde. Puis d’autres maghrébins qui étaient en manque de femmes et qui venaient se contenter d’une belle salope travestie bien soumise et sexy. La plupart connaissaient la réputation des travesties. De bonnes salopes bien putes, excellentes suceuses qui donnent bien leur cul. Des soumise qui aiment la queue arabe. Et bien évidemment mon maître, mari et propriétaire Abdel ne faisait que des éloges à mon sujet tant au niveau sexuel qu’au niveau de la soumission et de la féminisation. Il demandait aussi à ses potes de venir avec leurs amis. Ainsi je me suis retrouvée petit à petit à servir de vide couilles et de putain pour des groupes d’arabes. Jusqu’à 15 ou 20 arabes dans une soirée ou un week-end.

J’ai souvent eu 2 ou 3 queues arabes à sucer en même temps, tout en ayant jusqu’à 2 queues dans la chatte anale. Puis ils me défonçaient à la chaîne, et la plupart des arabes giclaient leur sperme sur mon visage. Mon visage était dégoulinant de sperme, complètement souillé. J’adorais ça avoir la face pleine de foutre musulman.

Parfois il organisait des soirées privées chez des potes qui habitaient en banlieue. Ces hommes vivaient dans des maisons isolées et où il pouvait donc me faire tourner en toute tranquillité.

Il lui arrivait de m’enfermer dans le coffre de la voiture pendant le trajet. Soit parce qu’il ne voulait pas que je sache où l’on allait, soit parce tous les sièges étaient déjà occupés par les arabes. Il n’y avait donc plus de place pour moi. Me retrouver dans le coffre de la voiture, ne pas savoir où j’allais me retrouver. Puis savoir qu’il y avait la voiture pleine à craquer d’arabes et qu’il y en aurait le triple une fois arrivé. J’étais excitée à mort.

Il lui arrivait aussi de m’emmener dans des bars d’arabes en banlieue tenus par des potes à lui ou des connaissances rencontrées lors de soirées privées. Il était excité à l’idée d’exhiber sa chienne devant d’autres arabes dans un lieu public mais sécurisé et tranquille. C’était entre 23h et jusqu’à 5h du matin. Je m’habillais ultra sexy et bien pute. Parfois à la demande de mon maître, je vidais dans les toilettes les couilles des arabes. Ceux qui avaient envie de se vider et qui voulaient une bonne bouche ou une bonne chatte anale.

Ce qui l’excitait le plus, c’était de montrer qu’il possédait une bonne femelle blanche travesti esclave, soumise et bien dressée à sa loi de rajel algérien. Une salope qui lui appartenait totalement et qui était au top sexuellement et niveau féminité.

J’ai adoré faire la salope et servir de vide couilles pour ces groupes d’arabes. Puis voir que mon maître prenait du plaisir à me prêter et me faire baiser par un grand nombre d’arabes. Il avait fini par faire de moi une véritable pute esclave à arabes. Moi le blanc français, j’étais devenue un esclave pour un algérien musulman dominateur ultra viril. Il m’avait bien dressé et éduqué et avait fait de moi une très bonne femelle sexy et une excellente putain docile et soumise.

Cela le rendait fier. J’étais fière de le rendre heureux. Puis de le voir satisfait de me posséder et de ne pas avoir regretté de me prendre en main et de m’éduquer à sa loi.

Il lui est aussi arrivé de m’offrir à certains amis arabes en guise de remerciement pour des services rendus.

Il m’emmenait chez cette personne enfermée dans le coffre de la voiture. Puis il me laissait pour la nuit chez son pote arabe. Ainsi je me retrouvais dans une banlieue inconnue, seule chez un arabe que je ne connaissais pas ou que j’avais vu que quelques fois. Finalement je devais être obéissante et servir de vide couilles toute la nuit et bien offrir ma bouche et ma chatte anale. Je ne devais rien refuser et je devais le satisfaire au maximum. Si l’ami à qui j’avais été prêtée n’avait pas été satisfait de mes prestations sexuelles ou de ma soumission, il en parlait à mon maître et propriétaire Abdel. Alors je me prenais une branlée monumentale. Car non seulement je n’avais pas été à la hauteur mais en plus j’avais humilié mon propriétaire qui avait vanté mes qualités d’esclave, de chienne et de putain qui était irréprochable. Cela donnait donc l’impression qu’il m’avait mal dressée ou qu’il avait menti sur la qualité de sa chienne.

Ce genre d’incident est arrivé 2 fois au début. Je n’avais pas encore l’habitude de me retrouver seule chez un arabe inconnu à sa totale disposition. Puis il m’arrivait d’être fatiguée. Mon maître et propriétaire Abdel le comprenait et le respectait. Toutefois pour me punir et me montrer qui était le patron, il me mettait une bonne raclée. Néanmmois j’aime me faire cogner et tabasser par mon rajel algérien musulman. Ce n’était pas une punition. Il m’est arrivé de désobéir ou de mal faire les choses qui m’était demandé seulement pour pouvoir me faire cogner par mon maître, rajel et mâle alpha Abdel. En effet j’avais besoin de sentir sa main virile et puissante sur ma peau. Puis de sentir les coups qui étaient là pour me dresser et me remettre sur le droit chemin de l’obéissance et de l’esclavage.

Êtes-vous partie en vacances ensemble, avez-vous eu des projets ?

Nous sommes partis ensemble à Marseille car il avait des amis là-bas. En outre il leur avaient parlé de moi. Il leur avait expliqué que j’étais une bonne femelle, bien sexy, ultra salope et excellente suceuse avec une bonne chatte anale. Finalement il voulait me faire tourner avec ses potes, il adorait me voir me faire baiser par ses potes rebeus et les amis de ses amis. Il était fier de montrer qu’il possédait un bon esclave blanc qu’il avait mis en esclavage. Puis qu’il avait transformé en femelle travesti sexy et salope, qu’il avait bien dressé et formaté. Finalement que je lui étais bien soumise et sous son contrôle. C’est le côté fier des Algériens.

Nous sommes allés six fois à Marseille en cinq ans de vie commune. On y passait la semaine, parfois quinze jours quand j’étais en vacances.

Nous sommes allés aussi une fois à Amsterdam pour une soirée SM dans un club.

La seule fois ou nous sommes partis ensemble sans que ce soit pour des raisons sexuelles c’est à Barcelone pendant 1 semaine. Mais j’étais en garçon, il n’y a que le soir dans la chambre d’hôtel où j’étais en femelle. De même pour Amsterdam.

Par contre à Marseille j’ai été ouvertement en femelle même la journée et avec ses amis. Toutefois cela dépendait des endroits, je ne pouvais pas me balader en femelle comme ça n’importe où. Je servais de vide couilles et de chienne pour tous les arabes qui étaient présent et qui étaient généreusement invités à me baiser. J’étais essentiellement là pour vider les couilles des arabes et offrir mes trous.

Qu’est-ce qui vous rendait heureux dans cette relation femelle travestie soumise à un maitre arabe ?

Le fait de vivre une histoire d’amour, une vie de couple dans une relation sérieuse. Puis d’avoir été considérée comme la femme d’un algérien, qu’il me voyait comme sa femme : j’en ai toujours rêvé et c’était mon fantasme ultime. Ensuite de savoir que je lui appartenais, que j’étais tout à la fois : sa femme, sa pute, son esclave, sa chienne, sa vide couilles, sa boniche, sa servante. Le fait d’avoir pu vivre cette relation d’esclavage de manière saine, sérieuse, de manière intelligente, avoir ressenti du respect et m’être sentie en sécurité. Par-dessus tout, le fait d’avoir eu le privilège de vivre cette magnifique histoire avec un si bel algérien. Il correspondait exactement à ce que je recherchais et ce que j’aimais chez les arabes. En outre j’ai été heureuse d’être à ses côtés, d’avoir eu l’honneur de le servir, le vénérer, le respecter et le craindre et d’en faire mon roi, mon boss, mon rajel.

Ce qui m’a rendu aussi heureuse, c’est il m’a aimé aussi. On ne reste pas 5 ans dans une vie de couple avec quelqu’un juste parce que l’on peut vivre nos fantasmes. Ces moments intenses et profonds on ne peut les vivre qu’avec une personne que l’on aime. Je l’ai aimé comme une folle.

Ce qui m’a rendu aussi heureuse c’est aussi son corps, sa beauté orientale. Puis sa queue, son cul, sa gueule virile et d’avoir eu le privilège de partager ma vie auprès de lui.

Qu’appréciez-vous le plus chez votre ancien maître ?

D’abord son physique de rêve qui correspondait à ce que j’aime et à mes fantasmes de la virilité arabe. Puis j’ai beaucoup apprécié aussi nos moments de sexe. Que ce soit hard et violent ou quand c’était plus tendre et sensuel. Sa domination, sa manière de me dresser et de m’éduquer. Son autorité naturelle. Sa manière d’être un véritable mâle alpha sans en faire trop et sans que cela fasse faux ou surjoué. Certains se prennent pour des maîtres mais n’en sont pas. J’adorais son sperme. J’adorais sa manière de m’embrasser, ce qui est rare chez les arabes, beaucoup n’embrassent pas.

J’ai beaucoup aimé aussi sa mentalité d’homme intègre, franc, respectueux, qui connaissait ses limites et qui respectait les miennes.

J’aimais aussi le fait qu’il assumait totalement sa relation de vie de couple avec sa femelle travestie, un vrai mec qui n’avait pas peur du qu’en dira t-on, ni du reste. Il avait des couilles, il était hétéro mais assumait aimer les chiennes travesties. Toutefois le fait que je m’étais investie à fond pour être crédible y a été aussi pour quelque chose. Il n’aurait pas assumé une telle relation avec un camionneur portant une robe et une perruque. J’étais intégralement épilée, hyper féminisée.

J’appréciais également son côté imaginatif, ses scénarios sexuels. Nous avons fait des scénarios dans différents endroits: cave, parking, voiture, coin de rue, hall d’immeuble, en pleine nature dans un champ, club échangiste, cinéma porno, bar d’arabes, sexe shop.

Il aimait aussi les scénarios comme celui-ci : il commande des pizzas, le livreur arrive, il me demande d’aller ouvrir, le livreur est surpris de voir une travestie. Puis mon maître vient payer la livraison et propose au livreur s’il souhaite profiter de la chienne que maître Abdel possède. Il a fait la tentative 8 fois avec des livreurs différents, cela a fonctionné 5 fois.

On a aussi souvent fait un scénario que l’on aimait beaucoup. On se baladait dans la rue très tard la nuit, moi devant, lui plus loin derrière moi. On faisait comme si on ne se connaissait pas, il me suivait, je jouais la femelle peureuse et affolée de me sentir suivie. Puis il se rapprochait et venait m’agresser et me violer en pleine rue sous un pont ou dans un coin sombre. Bien évidemment à des heures très tardives où il n’y avait personne. Dans des petites villes de banlieue où l’on pouvait s’amuser tranquillement en extérieur.

Il aimait aussi parfois que l’on traîne tard le soir dans le parc en bas de chez moi, on discutait sur un banc. Quand un mec passait et que mon propriétaire sentait qu’il y avait une possibilité, il proposait au mec de monter à la maison pour profiter de mes trous de salope et me baiser devant lui que cela excitait.

Que faisiez-vous pour lui faire plaisir ?

J’essayais d’être le plus féminine possible, épilation intégrale, bien maquillée, de belles tenue sexy, de belles perruques, bas, talons hauts, porte-jarretelles, nuisette transparente, de la dentelle, de la résille, parfum de femme, bijoux de femme, faux ongles vernis, faux cils. J’ai non seulement le mental d’une femelle mais j’en ai aussi les goûts, j’aime la cuisine, les fleurs, m’occuper d’une maison et de mon homme et j’avais très bon goût pour m’habiller en femme, je savais harmoniser les couleurs, les styles, les motifs, je pense que cela a aidé aussi à le garder 5 ans auprès de moi.

Sinon pour lui faire plaisir, j’acceptais de me faire baiser alors que parfois je n’en avais pas forcément envie. J’acceptais de me faire cogner, parfois hard, mais cela me faisait aussi plaisir car j’adore me faire cogner pendant l’acte sexuel. Ou de me faire baiser par d’autres hommes qui ne me plaisait pas forcément. Ou de servir de vide couilles pour des groupes d’arabes pendant une nuit entière ou un week-end entier

J’ai été aussi une bonne esclave, j’acceptais un esclavage et une soumission totale, toujours à son service et à ses petits soins, à le chouchouter, le bichonner et prendre soin de lui. Je suis assez bonne cuisinière donc pour lui faire plaisir je cuisinais de bons petits plats, je fais très bien le couscous entre autres.

Qu’est-ce qui le rendait fou de vous, physiquement, intellectuellement ?

Mon côté femelle et le fait que je m’investissais au maximum pour être crédible en femme, il appréciait mes goûts vestimentaires, il aimait mon côté salope et bien chienne, le fait que je sois sans tabous ou presque. Je crois que ce qui le rendait surtout fou c’est ma manière de sucer. Ma manière aussi de bouffer le cul le rendait dingue.

Il était dingue de ma chatte anale que je prenais soin de bien préparer. Je faisais un lavement anal je nettoyais entièrement mon colon intestinal : mon cul était entièrement propre. Cela me permettait donc de pousser et d’ouvrir mon cul au maximum. Ainsi il faisait comme des lèvres de chatte. En outre sa queue ressortait aussi propre qu’elle était rentrée. Cela lui a permis de bien me défoncer de manière hard et surtout d’avoir sa queue confortablement installé bien au fond de ma chatte anale.

Je pense qu’il appréciait aussi notre complicité et il aimait cette double ambiguïté. Une personne avec un mental de femelle et qui se comporte comme sa vraie femme. Mais aussi le côté ‘’potes’’ : une travestie est tout à la fois une femelle et un bon copain. Toutefois, cela ne fonctionne pas forcément avec tous les maîtres arabes.

Je rappelle que j’ai eu la chance de tomber sur un maître arabe algérien certes hyper viril, macho, dominateur mais qui était intelligent.

Quelles attentions avait-il pour sa femelle travestie soumise à un maitre arabe ?

Il me respectait. Quand sexuellement je n’en pouvais plus, il savait s’arrêter. Pour les plans hard et la violence aussi, quand je disais stop il s’arrêtait. De même pour le dressage et ma vie d’esclave, il ne dépassait jamais mes limites. S’il voulait aller plus loin on en discutait et il était assez habile pour arriver à ses fins. J’étais tellement amoureuse de lui que j’étais prête à presque tout pour lui.

Pour me faire plaisir, comme il me savait complètement folle des arabes, il organisait des soirées privées où il invitait plusieurs arabes. Des amis, des amis de ses amis, des mecs rencontrés sur des réseaux téléphoniques, dans les clubs échangistes ou autres. J’avais de l’arabe à volonté, de la queue arabe à sucer, des couilles arabes à lécher, des culs arabes à bouffer et ma chatte était bien honorée pour la nuit ou le week-end entier.

Maître Abdel adorait me voir me faire baiser comme une chienne et une bonne pute à la chaîne par un groupe d’arabes, cela l’excitait beaucoup.

Je crois que le secret d’une relation maître esclave et vivre en esclavage sur le long terme c’est avant tout la confiance, le respect mais aussi être amoureux. Avec ces 3 bases on peut vivre de belles choses, sans cela, la relation périclite et surtout on fait n’importe quoi. 90% des soi-disant maîtres ne savent pas vraiment se comporter comme de vrais maîtres. La plupart ne connaissent pas vraiment les codes du SM et de la domination. C’est tout un art qui s’apprend et qui demande un certain contrôle et une maîtrise de soi.

Pourquoi cette relation est-elle finie ?

Après 5 ans de vie de couple et pratiquement de vie commune, nous sommes arrivés à une relation complète et pratiquement parfaite. On se connaissait par cœur et nous avions un excellent feeling.

Chacun était à sa place et tenait son rôle à la perfection. Il était très satisfait de ce qu’il avait fait de moi et du résultat obtenu après un long dressage et une bonne éducation. Il était heureux d’avoir fait le bon choix en me choisissant comme esclave et comme femme. Notre relation d’appartenance et d’esclavage était à son top.

Mon propriétaire et maître Abdel souhaitait que je devienne trans, que je me fasse hormoner et que je devienne quasiment une vraie femme. D’une part car il adorait les trans, d’autre part nous avions une vie de couple mari et femme. J’étais devenue hyper féminine il était évident que je devais aller plus loin et devenir une belle transgenre. Il m’avait dit qu’il s’était beaucoup attaché à moi et qu’il m’aimait et qu’il voulait me posséder en tant que transgenre. Ainsi nous aurions une vie encore plus normale, nous pourrions sortir dans des lieux où je ne pouvais pas aller en travestie. Femme et hormonée cela me rendait doublement crédible pour continuer notre vie de couple. Être hormonée me permettrait entre autres d’avoir de vrais seins plus volumineux, des formes plus féminines.

Je suppose que c’était son idée de départ. Dès notre première rencontre, il m’a trouvé très féminine et crédible. Puis, il a vu mon évolution : j’étais prête à tout pour lui plaire et être la plus féminine possible. Il a dû se dire qu’il pourrait sur le long terme me demander de devenir femme afin de vivre son fantasme jusqu’au bout. Son but était de posséder une trans. Plus la fierté de dire et de montrer qu’il a réussi à faire d’un blanc une bonne esclave transformée en femelle totalement féminine. Elle est pratiquement une vraie femme et totalement soumise à ma loi. Il kiffait ça, la plupart des algériens adorent ça. 

Bien sûr, j’en avais très envie, j’ai toujours voulu devenir femme et être l’épouse d’un algérien en tant que femme. Mais j’avais 44 ans et je trouvais qu’il était un peu tard pour une transition en femme. Le parcours est long et périlleux. Certes, je savais que je pouvais compter sur lui et avoir son soutien et sa motivation. Mais j’estimais que devenir trans, cela se décide au plus tard à 25 ans. Si je faisais la démarche, je devenais une femme transgenre à part entière vers 50 ans. J’avais peur que le résultat ne soit pas à la hauteur. Au fond de moi j’en rêvais et j’étais heureuse à l’idée d’appartenir définitivement à mon mari algérien en tant que vraie femelle, avec une belle poitrine, une belle silhouette féminine, quelques opérations.

Finalement terminer ma vie en femme, en couple mari et femme avec l’homme algérien de mes rêves, que demander de mieux?

Je lui ai demandé un temps de réflexion, j’y ai réfléchi des semaines. C’était horrible car j’en avais envie, en même temps j’avais peur du résultat.Puis j’avais peur de perdre l’homme que j’aimais car je sentais que c’était capital pour lui.

Finalement je lui ai dit que je ne souhaitais pas prendre d’hormones et faire ma transition. C’était trop compliqué à gérer pour moi, même si j’en mourrais d’envie. J’aurais aimé le satisfaire, lui offrir ce cadeau et continuer ma vie avec lui en ayant le petit plus qui me rendrait encore plus femme.

J’ai senti sa déception. Il a insisté, ma montré tous les points positifs, ma fait la promesse d’être à mes côté pour ma conversion en femme et me soutenir. Il a même proposé de m’aider financièrement, il en avait les moyens.

J’ai sentie qu’à partir de ce moment-là notre relation commençait à se dégrader. Il était moins impliqué dans notre relation. Je sentais que j’étais en train de le perdre.

Finalement au bout de 6 mois, il m’a annoncé vouloir arrêter notre relation et qu’il souhaitait se mettre à la recherche d’une transgenre pour revivre ce qu’il avait vécu avec moi.

Je m’étais investie corps et âme à 100% pendant 5 ans, j’ai fait des efforts, des sacrifices, des compromis, j’ai accepté mille choses par amour pour lui. J’étais devenue une esclave totale et je me donnais à fond dans notre relation.

A mon tour je me suis mise à le convaincre et lui montrer tous les points positifs que nous avions bâtis ensemble depuis 5 ans. Ce serait dommage de tout gâcher. En outre j’étais prête à redoubler d’efforts pour être encore plus esclave et encore plus soumise que je ne l’étais déjà. Au stade où était notre relation, devenir transgenre n’était que du superflu. Toutefois je comprenais cette envie et ce besoin.

De plus Abdel ne comprenait pas car il savait que j’avais rêvé toute ma vie de faire ma transition. Et que mon souhait le plus cher était de vivre avec lui comme une vraie femme. Mais devenir définitivement trans vers 50 ans était un risque que je ne souhaitais pas prendre.

Nous nous sommes donc séparés d’un commun accord. Je suis retourné vivre chez moi.

Comment avez-vous vécu cette rupture ?

Je l’ai mal vécu, j’ai fait une dépression. En plus j’étais en manque total de tout, de sa queue, de son sperme, de sa présence, de sa virilité, de sa domination, de son emprise sur moi.

Ma vie d’esclave et nos plans abattages et tournantes avec les groupes d’arabes me manquaient.

Je n’avais plus aucun but et plus aucune motivation. J’ai mis 2 ans à m’en remettre.

Bien sûr j’ai eu des regrets, j’ai culpabilisé, je me suis dit que j’aurais peut-être dû accepter sa proposition et faire l’effort, surtout sachant qu’il était prêt à m’épauler et me soutenir.

Au bout de 2 ans, j’ai repris ma vie de femelle travesti mais ce n’était plus pareille. Je n’avais plus la même motivation, en plus, les rencontres que je faisais ne me convenaient pas. J’ai donc décidé d’arrêter définitivement ma vie de femelle et de tourner la page. Je suis passé à autre chose. Je me suis investi dans la lecture, la culture, le théâtre, les musées et je n’avais quasiment plus aucune vie sexuelle.

J’avais en moyenne une relation sexuelle par an. De 20 à 25 arabes par week-end je suis passée à 1 arabe une fois par an cela fait tout bizarre.

Cherchez-vous aujourd’hui une relation soumise et maître arabe hétéro ?

Oui bien sûr, je suis toujours à la recherche d’une relation de soumise avec un maître arabe hétéro. Mais je pense que les choses ont changé.

Pourquoi cherchez-vous une relation travestie et maître différente ?

Déjà je n’ai plus le même âge qu’à ma période faste et glorieuse. J’approche des 60 ans. Je n’ai plus le même physique, j’ai pris du poids, du ventre. Mes 10 ans de psychanalyses m’ont permis de mieux me connaître et de mieux comprendre mes besoins de vivre une relation d’appartenance, d’esclavage et de femelle soumise.

Je pense qu’aujourd’hui mes attentes sont différentes. La maturité sans doute, la sagesse également.

Il y a longtemps que je ne suis plus en femelle travesti, j’ai arrêté il y a au moins 15 ans et je ne suis pas sûr de vouloir vivre en femelle en permanence. Quand j’étais jeune, j’avais un visage plus fin, plus féminin. En vieillissant je suis plus viril. Et puis je n’ai plus envie de vivre des choses perverses et extrêmes.

Quelles relations amoureuses souhaitez-vous aujourd’hui ?

Mon souhait serait de rencontrer un maître arabe viril, macho, dominateur, intelligent, sérieux, avec de la culture afin de pouvoir partager en plus du sexe et d’une relation de couple sérieuse et durable. Des moments de partage et de complicité à travers la culture, l’art. Un maître arabe qui s’intéresserait à la musique, le théâtre, les musées, les bons restaurants. Il voudrait profiter de la vie avec son esclave qui serait en homme dans la vie quotidienne. Ce serait une relation virile entre potes le jour mais je pourrais être féminine à la maison et au niveau sexe. Porter de la lingerie féminine (, p.

Je veux bien porter de la lingerie féminine et sexy bas, talons hauts, porte-jarretelles, nuisette transparente) si cela peut faire plaisir à mon futur maître et propriétaire. J’aime toujours autant la belle lingerie sexy. Pour le reste, perruque, maquillage, etc .. je pense que je serais ridicule. Je ne m’investirais plus comme avant pour ressembler au maximum à une femelle. Sauf si le miracle se produit et que je tombe de nouveau amoureuse et que mon propriétaire arabe soit suffisamment convaincant et motivant pour que je fasse l’effort.

Quand je vois des petites annonces sur le net, des vieilles travesties qui recherche un partenaire, je trouve cela pathétique. Il y a un âge pour tout et il faut savoir à un moment s’arrêter et passer à autre chose.

Je recherche une relation plus calme et posée, certes être soumise, me sentir femelle, appartenir à mon rajel et mâle alpha arabe. Puis être dans une relation sérieuse et durable avec un vrai mâle dominateur et macho. Mais que cela reste soft, cool et sympa.

J’ai fini avec le temps par m’aimer et me respecter, donc je recherche du respect, de la complicité, tout en vivant des moments forts et intenses sexuellement dans la soumission et l’esclavage. Mais cela doit rester contrôlé, limité, un jeu, de l’amusement qui mette un peu de piment dans notre quotidien.

Quelle est votre conclusion concernant votre expérience de votre vie d’esclave et de femelle à arabe et votre besoin d’appartenance ?

Je pense qu’il est nécessaire d’avoir des fantasmes et de pouvoir en vivre quelques uns. Il est important de pouvoir se sortir d’une routine et de pouvoir mettre un peu de piment dans une relation, qu’elle soit durable ou passagère.

Mais un fantasme doit normalement rester un fantasme et si il est réalisé, il doit l’être dans de bonnes conditions, contrôlé, limité, fait avec respect et dans la confiance réciproque. Surtout, un fantasme ne doit pas aller trop loin, car le danger du fantasme, c’est que quand on le réalise, on veut recommencer. Toutefois la sensation est moins forte, donc on recherche une sensation toujours plus forte et si l’on n’y prend pas garde, on va trop loin et on se met en danger. Comme une drogue, une addiction.

Dans ce cas, il faut se poser les bonnes questions et voir cela avec prudence.

Un fantasme réalisé doit rester un plaisir, un jeu avec des règles.

Je pense avec le recul et mon expérience, qu’il est très important de se respecter et de surtout bien se connaître afin d’avoir un meilleur contrôle de ses fantasmes et de ne pas se mettre en danger.

J’ai eu la chance de vivre une belle histoire pendant 5 ans avec mon beau maître algérien, j’ai eu aussi la chance de faire d’autres belles rencontres avec d’autres arabes avec qui c’était très agréable. J’ai eu la chance en étant en femelle travesti, de me faire de très beaux arabes hétéros et très virils que je n’aurais jamais pu avoir si j’avais été en homme.

Les hétéros ont quasiment tous une tendance bi voir homosexuelle, mais ne l’assument pas pour la plupart, ils se rassurent en allant vers les travesties, une perruque, du maquillage, des talons aiguilles, de la dentelle, un corps intégralement épilé, cela rassure.

Avez-vous eu de mauvaises expériences avec vos partenaires ou vos plans culs ?

J’ai en tout cas eu beaucoup de chance, mais il m’est arrivé aussi de tomber sur des arabes compliqués, craignos, trop violents, irrespectueux, j’ai subi du harcèlement, des menaces, je me suis fait racketter, voler.

Beaucoup d’arabes ne sont pas des maîtres et des dominateurs pour rien, c’est souvent une façade et une bonne excuse pour se faire de l’argent facile. Ils proposent des relations tarifiés : le soumis doit faire des offrandes à son maître. Il y aussi la haine du pédé donc de soi-même, puisqu’ils ont des pulsions homosexuelles qu’ils n’assument pas. Surtout chez les algériens et les blacks.

Il m‘est arrivé plusieurs fois de demander à des algériens et des blacks pourquoi ils faisaient subir cette violence, d’aimer rabaisser et racketter les gays et particulièrement les français.

La réponse est souvent la même : le besoin de faire payer aux français ce que leurs précédentes générations ont subi à cause de la colonisation.

Je leurs réponds que les français d’aujourd’hui ne sommes pas responsables. Ce sont plutôt les dirigeants de l’époque, avec la complicité des dirigeants des pays algériens et africains qui ont acepté et laissé faire.

Souvent pour mieux me faire comprendre, je leur raconte cette histoire: Un policier frappe à la porte d’un jeune algérien et lui explique qu’il va être puni et mis en prison pour ce que son grand-père à fait il y a 50 ans. L’algérien refuse de payer pour son grand-père. C’est pourtant ce que la jeune génération d’algériens fait aujourd’hui avec les gays, je le vois hélas régulièrement sur les réseaux dédiés aux lopes et aux maîtres arabes.

Je ne pense pas que ce soit une bonne chose pour eux car ils sont dans un esprit de haine, de vengeance et finalement cela n’apporte rien de bon dans leur esprit et dans leur âme.

Attention, je ne dis pas qu’ils sont tous comme cela aujourd’hui et heureusement, mais j’ai constaté une forte attitude dans ce sens sur les réseaux.

Je vois tellement d’annonces de gens en détresse qui manquent de confiance en eux et se haïssent qu’ils sont dans une recherche extrême de déchéance. J’ai peur et je suis triste pour eux.

En conclusion je dirais qu’il faut suffisamment s’aimer, afin de ne pas s’embarquer dans des histoires sordides et trop humiliantes et dégradantes. Profiter de la vie en se faisant plaisir tout en se respectant et en ayant suffisamment d’amour pour soi-même.

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1 Comment

  1. Bonjour Pamanana et merci d’avoir publié mon questionnaire. J’ai été ravi(e) d’y participer et d’exposer mon histoire et partager mon expérience qui je n’en doute pas intéressera beaucoup de lecteurs.

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